Trouver une chaise vide est chose régulière en se promenant. Mais là j’avoue que la surprise a été totale.
Elle est perdue là, sur les bords de la Loire, les pieds dans l’eau comme attendant son propriétaire. Mais pas tournée vers le large pour profiter du paysage, mais vers la rive comme impatiente de retrouver une utilité, ou inquiète de son futur sort sous ce beau soleil et la Loire qui monte inexorablement.